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Planning (pdf)

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Les secteurs

Canyons ... 2017




25-28/05/17 - L'Ascension dans le Verdon
Écrit par Pascale   

Un petit groupe de 12 jacuzzistes s ‘est retrouvé dans le magnifique secteur de Moustiers Sainte Marie afin de parcourir les beaux canyons du coin. Comme d’habitude joie et bonne humeur au programme. 5 encadrants pour 7 participants, tous autonomes.


Nous avions aimé 2 ans plus tôt en novembre et décidé d’y revenir au printemps pour avoir plus d’eau, mais .............. secs secs secs étaient tous les canyons ce printemps !

Nous avons donc parcouru les canyons affluents du Verdon et ainsi pu mettre en pratique les techniques grandes verticales ! Vu la taille du groupe et les relais simples nous y avons passé pas mal de temps. On améliorera une prochaine fois.

A la sortie de Cabrielle une descente aquatique dans le Verdon (3 m3) était possible, ce qui a ravi tout le monde vu la chaleur pour la saison.

Il reste à découvrir la descente intégrale du Verdon en floating et repérer les différentes échappatoires. Ainsi, on pourrait envisager un double module AQUA + TGV.


Les canyons parcourus:



 
25-26/02/17 - ski canyon
Écrit par Pierre   

Jeudi 23 février :

Un WE canyon commence, en fait, la veille. Le four chauffe les petits plats mitonnés pour être partagés. On prépare ses affaires : valise, change, trousse de toilette, duvet, matériel. On s’organise. Pas à pas, on pèse l’utilité de certaines choses : Une deuxième serviette ? Ouais, c’est bien pour les thermes. Un gros pull de ski ? Inutile, la météo annonce un printemps. Le rasoir ? Bof, on va plutôt en profiter pour rester nature.

Les paquets s’entassent dans le garage. Dernière vérification, centrée sur l’équipement : le haut et le bas de la combinaison. Le baudrier, correctement équipé. Sifflet, casque. Chaussons néoprènes, lycra : on tasse dans le sac canyon. Les « best star » iront dans le cabas de supermarché à côté.

C’est prêt, on boucle. La quiche sort du four. Tiens, ça sent bon dans la cuisine. Avant de se coucher, on révise la route, un coup d’œil à « descente canyon ». On y est déjà un peu. Au dodo, et demain on se caaaaaaaaaaaaaaasse. Voilà.



Vendredi 24 février :

Une journée de boulot comme les autres. A un détail près, le coffre est plein et tout à l’heure, je me caaaaaaaaaaaaaaaasse.

A 17h15, éjection. Kénavo les bouseux, je ferme la session et je me dirige vers le point de rendez-vous du co-voiturage. En 15 minutes, on rassemble nos affaires avec Patrick et Cathy. Tétris dans le coffre, organisation millimétrée (Patrick), la cocotte de tajine (Cathy) trouve sa place dans le coin du fond. On verrouille et on démarre.

Dernière étape avant le lâcher prise : sortir de l’agglomération en limitant les bouchons. Un itinéraire bis improvisé nous amène jusqu’au péage. Un coup de carte bleu et on passe les remparts. Ça y est, on est dehors, maintenant c’est vraiment parti. Les SMS crépitent, Céline et Toinou, sont devant nous.

Le voyage est rythmé par les papotage et conversations : dommage, l’actualité des ragots est mince en ce moment dans le club. Faudrait penser à en inventer un ou deux.

Juste avant d’arriver, une vieille 205 (GTL d’après Patrick) nous double deux fois, coup sur coup : un Bernard Darniche local qui s’amuse à enfumer les touristes dans des virages sans visibilités. On rouspète dans la voiture, puis on se marre en évoquant les kékés des années 80 et certains modèles qui ont marqué l’histoire de l’industrie automobile française (La Fuego).

Puis, on arrive dans le gite. Toinou et Céline ont déjà pris possession des lieux. Premier repas partagé : muffins chorizo, quiches aux poireaux ou au thon. On part se coucher, panse bien arrondie. Tiens, c’est quoi cette grosse trace rouge au-dessus du lit, sous un bout de papier peint déchiré ? Amityville, la maison hantée ?



Samedi 25 février :

Les fantômes nous ont fichu la paix, on a tous bien dormi. Dehors, le ciel est bleu profond, pas un souffle d’air, le paysage est serein.

Pascale, Michel et Marcel arrivent en avance sur l’horaire. Ils sont matinaux, on le savait, ça se confirme. On s’embrasse autour d’un café et on enchaine. Direction Cambre d’Aze : une petite station de ski de Cerdagne, plongée dans la forêt et couronnée d’un cirque. Ambiance détente. Quelques pistes tranquilles avant d’embrayer: une bonne vieille rouge non dammée, longue, étroite, parsemé de bosses bien marquées, comme on les aime. On termine la matinée le souffle un peu court, et la bouche asséchée par l’effort.

Il est temps de se remettre aux choses sérieuses: resto. On commande les frites, paninis, bières, saucisses etc…Au soleil, sur la terrasse. Les conversations ravivent les aventures sous les cascades: Baléares, Tessin, Sierra.

Un incident, Pascale s’abime le coude en glissant dans le couloir du resto. Marcel assurera les soins. Le seul point négatif d’un week-end presque parfait. Le lendemain, pas de canyon pour Pascale, elle fera de jolies photos du groupe dans le dernier rappel.

L’après-midi s’enchaine comme le matin, durement : soleil, neige, ski et rigolade. Un téléski violent au démarrage nous donne l’occasion d’essayer diverses techniques pour éviter la secousse du départ. Ces tentatives, plus ou moins farfelues, plus ou moins élégantes, les conseils des pisteurs ne semblent pas efficaces : Patrick et moi, on se fait toujours broyer le postérieur par la perche.

Un remontant : les bains de Saint-Thomas. L’eau aromatisée au soufre est à 30°. Il y a un peu de monde, le passage des vestiaires nécessite de la dextérité pour sauter dans une cabine avant les 3 familles qui souhaitent aussi passer. Mais ensuite, pure détente : bloup, bloup. On flotte peinard en refaisant le monde, le club, la politique…Et un plongeon canard pour des photos étanches.

La faim nous fait sortir de l’eau. Direction le Tajine de Cathy (et la semoule de Patrick). Là encore, on se remplit la panse. On cale. On attendra le lendemain matin pour s’occuper vraiment du gâteau (alsacien ? Tourangeau ?) de Céline et Toinou.

Dimanche 26 février :

Toujours pas de fantômes. La nuit a été tranquille, même pour notre blessée. La matinée ne ressemble pas à une matinée canyon : lever à 8h, pas de vérification affairée des sacs et des cordes, pas de briefing d’équipe. On prend son temps. On a le temps. Le canyon est court, sans difficultés particulières.

On part à 10h00, conformément à l’horaire (quand même).

Stupeur au parking du canyon : 3 groupes sont déjà en partance et un quatrième commence à décharger. Toinou commente : « ça devient la grosse fréquentation ce truc. Il y a cinq ans, il y avait juste quelques nudistes ». Sauter dans des vasques d’eaux chaudes garnies de nudistes… Encore quelque chose qu’il me reste à expérimenter chez Jacuzzi…

Que dire de ce canyon ? L’eau n’y est pas si chaude que ça. Plutôt tiède en fait. Et, il n’a pas la splendeur des bijoux de la Sierra. Une mise en bouche pour la suite de la saison.

Je ne parlerai pas du retour. Les retours, c’est chiant : on n’est plus tout à fait dans le week-end et pas encore dans le cours normal de sa vie.

C’est quand la prochaine sortie ?


Canyon parcouru : cascades chaudes de Thuès 3.2.2



 
28-29/01/17 - Hivernal
Écrit par Laure & Jean-Phi   

Le week-end débuta par une montée épique au plateau de Beille où notre hôtesse Laure nous attendait patiemment pour une journée de découverte des joies du biathlon. Mais avant de découvrir toutes les facettes de cette activité, il fallait bien s'entraîner un peu sur des skis aussi fins que les chaînes d'un T5 (une feuille de papier ces chaînes, les présents me comprendront).

La matinée du samedi fut donc consacrée à un petit tour du domaine du plateau de Beille, sous le regard bienveillant de Laure, qui faisait les 100 pas de skis en allant voir tour à tour les uns et les autres pour vérifier pourquoi nos freins à mains étaient bloqués en position serrée. L'après-midi sera plus dynamique, même si certain(s) l'ont débuté sur l'épaisse et douce mousse dans un local de ski en prenant un peu de repos bien mérité au vu de la débauche d'énergie déjà consentie.

On peut dire facilement qu'on compte quelques bons tireurs au club, tant les cibles ont pris cher avec nos joujous du jour pendant les séances de tirs. Mais le rythme des tours de ski allant en augmentant, les cibles ont commencé à nous rigoler au nez à force que l'effort conjugué à la fatigue nous faisait dévier de la bonne trajectoire de tir.

Il ne manquait donc plus qu'un bon repas et une bonne nuit pour nous remettre en marche. Ce fut fait de façon magistrale, autour d'une fondue bourguignonne agrémentée de quelques spécialités presque locales (la tarte aux poireaux et le fondant-coulant au chocolat sont peut-être des spécialités d'Albies, à vérifier...).

Avec 4 courageux le dimanche contre 6 le samedi, on peut facilement dire que le taux de perte était bien élevé en ce début d'année. Mais alors qu'est-ce qu'on s'est régalés à 4 dans ce canyon bien en neige..... Cascades gelées mais bien arrosées, approche dans une neige conséquente, gros glaçons en guise de réception dans les vasques, ponts de neige.... tout ou presque y est passé dans cette descente mémorable tellement les conditions étaient magiques et le beau temps de la partie. Les pieds commençaient à se trouver à température (mais laquelle...) quand nous vîmes le chemin d'approche de la partie aval. Ni une ni deux, nous déçidâmes d'en rester là tellement la neige était présente et masquait le relais du rappel suivant. Prudence, quand tu nous tiens...

Et c'est au bar de Vicdessos que nous avons pu terminer ce beau week-end, les pieds au chaud et les esprits déjà tournés vers de nouvelles sorties hivernales...

Canyon parcouru: Argensou moyen (3.2.III)

Le samedi: Plateau de Beille (ski, biathlon)




 
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